• Au Congo-Brazzaville, les bourreaux et les victimes se connaissent

    Au Congo-Brazzaville, les bourreaux et les victimes se connaissent


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  • (Congo) Refus des Mbochis de Sassou de partir à la retraite


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    Notre confrère, Congoliberty a été censuré par le régime de Sassou. Autrement dit, le Congo est un pays de merde où on préfère enrichir des cabinets d’avocats véreux spécialisés dans les fermetures juridiques de sites que payer les salaires des travailleurs congolais qui tirent le diable par la queue. Cette nation marche sur la tête.

     

    Selon nos sources, des milliers d’euros ont été versés à des avocats yankee alors que l’économie du Congo croule sous la dette. Donc ce pays est dirigé par des bandits, des voleurs.

     

    Conclusion, depuis le 1er janvier 2022, CONGO-LIBERTY a disparu des écrans radar. Nos amis ne sont plus visibles sur la toile. C’est-à-dire que Sassou dans son message sur l’état de la Nation en vantant la pratique de la démocratie dans son pays a, une fois de plus, menti. Démago un jour, démago toujours.

     

    Lorsqu’on clique sur le lien Congoliberty.com, un message en anglais s’affiche sur fond d’écran gris :« This site has stepped out for a bit ». On vous l’aura dit : Sassou ne supporte pas d’autre son de cloche que la propagande de radio Mpila et Télé-foufou.

     

    En somme il n’y a de tyrannie que couplée à une presse unidimensionnelle.

     

    « Oyé, oyé, soutien ! Merci camarades » est une mélodie symphonique qui a toujours plu aux oreilles de Sassou depuis sa jeunesse.

     

    Pour paraphraser de Gaulle, on ne devient pas démocrate à 80 balais après avoir été tyran toute sa vie. En clair, le Congo est mûr pour l’insurrection. A quand le printemps bantou ?

     

    Pour notre part, quand un organe de presse ferme, les confrères ont intérêt de se mettre sur leur garde. Par prudence, on doit se dire : ça n’arrive pas qu’aux autres.

     

    LE GRAND VOLTAIRE

     

    Chacun connaît la citation apocryphe de Voltaire : « Monsieur l’abbé, je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez continuer à écrire. »

     

    Allez expliquer cette philosophie aux amis de Jean-Paul Pigasse. Les censurés d’aujourd’hui sont ceux qui auront le pouvoir demain. Gare aux purges de l’après-Sassou ! En ont-ils conscience ? Assurément. D’où leur slogan : « advienne que pourra. Après-nous le déluge. » D’où la pagaille dans notre pays.

     

    Nous ne ferons pas comme certains qui détournaient le regard dans les années 40, pendant l’Occupation, quand on arrêtait les Juifs, les Communistes et les Francs-maçons. Leur tour est arrivé, il n’y avait plus personne pour les défendre contre les nazis. Il y eut des grincements de dents et des pleurs.

     

    Il va sans dire que Congopage proteste de toutes ses forces contre messieurs les censeurs et exige sans conditions de lever le blocage médiatique de nos amis de Congo-liberty.

     

    L’HOMME AU NOEUD’PAP

     

    Selon une source proche du site, une haute personnalité plénipotentiaire agissant sur la place de Paris, portant nœud-papillon, aurait plusieurs fois tenté une approche avec des espèces sonnantes et trébuchantes afin de modifier la ligne éditoriale de la rédaction de Congo-Liberty. On ne sait quel gros mot employer pour qualifier cette démarche de voyou : achat des consciences, franc-maçonnerie, corruption, O.P.A (offre publique d’achat) raid...? Agissant pour le compte de Mpila, ce diplomate, aurait procédé en connivence avec un ministre de la République, un certain Raymond Mboulou et deux hommes à tout faire répondant aux noms de Lucien Ebata et Willy Etoka. Vous l’avez compris, ce pays regorge de fric. Il y a assez d’hommes de paille pour déclencher un incendie social.

     

    Face au refus de notre confrère de coopérer, le sang des corrupteurs n’a fait qu’un tour. « Vous allez voir de quel bois on se chauffe » ou « Vous aurez bientôt de nos nouvelles » auraient menacé ces champions en trafic d’influence. Traduction : on peut tuer, le ciel ne tombera pas.

     

    VIREZ-LES

     

    A en croire les bruits de couloir, selon les maîtres-chanteurs, il n’y a rien à redire sur ce ce que dit le site. Congo-Liberty passerait même pour le « compas de l’analyse politique de la presse congolaise en ligne ». Il passerait pour l’équerre de la presse de l’opposition dont on ne pourrait se passer. Sans jeu de mot, on peut dire que Congo-Liberty est le dada de l’homme au nœud-papillon.

     

    Mais (car il y a un hic) deux internautes qui gravitent autour de sa rédaction emmerdent le sommet de l’Etat par leurs puissants coups de griffes. Leurs noms : Samba dia Moumpata , Val de Nantes. Cet odieux duo serait trop tribaliste aux yeux du régime Sassou. Par conséquent, par son verbe tout azimut au vitriol, il constitue une menace pour la stabilité institutionnelle et politique du Congo. Par conséquent Congo-Liberty devrait s’en débarrasser. Traduction : vous n’avez pas le choix. « Virez-moi ces empêcheurs de tourner en rang que je ne saurais voir ! »aurait intimé l’homme de la rue Paul Valery. En clair : « Nous avons le fric et vous êtes sous nos ordres. Garde-à-vous ! Rompez ! »

     

    Mais « l’homme au nœud pap » ne semble pas mesurer le niveau de haine et de rejet global dont fait l’objet son patron, « Monsieur Mathurin », dans toute la presse congolaise. En somme, la classe dirigeante congolaise est la plus bête et la plus cruelle au monde. Des « Samba dia Moumpata » et des « Val de Nantes » de tout genre et en tout genre pullulent sur les réseaux sociaux depuis le 5 juin 1997, voire depuis le 18 mars 1977. L’opposition radicale en compte à la pelle. La diaspora et la population intra muros, ex et in situ en a à revendre ! S’il fallait fermer tous les sites où Sassou est éreinté, on ne serait pas plus avancé que Sisyphe avec son rocher chaque fois hissé et chaque fois précipité dans le ravin.

     

    SAMBA LE FAUX ANALPHABETE

     

    « Stratège de la grammaire, Samba dia Moumpata, fait semblant de truffer ses propos de coquilles, ce qui en troublant ses adversaires leur fait davantage mal, car rien ne correspond entre le contenu douloureux de ses critiques et la forme douteuse de son écriture  » aurait déploré le haut fonctionnaire de la chancellerie connu pour être détenteur d’une Licence en Maths.

     

    Sous ses airs d’analphabète, Samba fait mouche. Samba tue le guinnârou. C’est un orfèvre du leurre. Aucun Champollion pour déchiffrer ses hiéroglyphes car c’est un Egyptien de la connaissance du monde congolais. Autrement, on le cherchera, on le trouvera partout et nulle part.

     

    TRIBALISME

     

    Si le fameux Samba dia Moumpata et le philosophe Val de Nantes sont tribalistes que dirait-on de Sassou qui vient de nommer coup sur coup plus de quinze généraux sélectionnés dans la seule région de la Cuvette ? Dans quelle catégorie ranger le PCT qui depuis des décennies brillent par un népotisme pathologique et une kleptomanie viscérale ?

     

    La parabole de la paille et de la poutre, vous connaissez ?

     

    BLOQUEZ-ZINGUEZ

     

    L’ultimatum de monsieur le plénipotentiaire est d’une incroyable naïveté. C’est comme si un boxeur disait à son rival qu’il le trouvait percutant mais qu’il devrait amputer sa main droite (justement celle qui assène les uppercuts) pour être efficace.

     

    En d’autres termes, que serait Congo-Liberty sans Samba dia Moumpata et Val de Nantes ?

     

    Le « licencié en maths » ne le sait que trop bien. Voilà pourquoi il veut casser le maillon fort de la chaine d’information en ligne, question de métamorphoser le tigre en chat.
    Traduction : je serai Congo-Liberty, je ne me séparerais jamais de mes deux crochets venimeux nommés Samba et Val. Samba vaut de l’or. Samba dia Moumpatas étymologie de l’argent.

     

    DES MACONS CONS

     

    Aucun vice n’est beau, mais le plus laid de tout c’est de corrompre. Comment peut-on avoir le compas dans l’œil et se comporter comme un disciple de la Synagogue de Satan ? C’est quoi cette franc-maçonnerie qui consiste à tuer la Liberté du Congo, la Congo-Liberty ? On a franchement envie de vous emmerder ! SIC : la maçonnerie n’est plus ce qu’elle était. Ô Cagliostro ! Ô Comte de St-Germain ! Entre quelles mains avez-vous laissé le Fils de la Veuve  ?

     

    Les voleurs aiment les métaux mais ne possèdent pas la Pierre Philosophale ! Traduction : la quête du St-Graal est une introspection. Le reste n’est que vanité des vanités.

     

    LA PHILOSOPHIE BANTOUE

     

    A bout de patience, « Nœud papillon » a alors fait usage de stratégie à l’égard de la rédaction de Congo-Liberty. Une politique du bâton et de la carotte appuyée sur la philosophie bantoue sera entreprise par le « mathématicien ». Un énième rendez-vous fut fixé par Iscariote le corrupteur-maison. « La sagesse mbochi veut qu’un cadet qui rend visite à un aîné reçoive 5.000 euros pour le déplacement. Je ne te paierai pas ton transport car tu ne veux pas obtempérer en virant les sieurs Samba dia Moumpata et Val de Nantes » aurait dit mezzo voce le haut fonctionnaire de la chancellerie rue Paul Valery, dans l’atmosphère feutrée d’un grand palace parisien après s’être retrouvés à huis clos.

     

    Le rappel des us et coutumes Mbochi fait, le diplomate à la barbe sel et poivre aurait ajouté la menace (après la caresse, la gifle) : « Comme tu es obstiné, on va te montrer qui est le plus fort. » On ne pouvait être plus clair.

     

    Peu de temps après le tête à tête dans le grand hôtel parisien, la sanction tomba. Les hackers chinois entrèrent en scène. Le site Congo-Liberty disparut des écrans radar. Vous parlez d’une faux-maçonnerie ! Ce fut la fin des haricots.

     

    Re-traduction : Pour l’avenir des Mbochi, on ne fait pas dans la dentelle. On y va franco. Pas de quartier.

     

    DON QUICHOTTE

     

    A l’heure de l’internet peut-on étouffer la liberté ? Autant se battre contre des moulins à vent, comme Don Quichotte.

     

    Le webmaster n’est pas né de la dernière pluie.

     

    « En ce net moment » (comme disent les Congolais) Congo-Liberty est toujours accessible. Il suffit de taper Congo-Liberty.org. et le tour est joué.

     

    Censurer un site, autant tentez d’arrêter les eaux du fleuve Congo avec ses mains.

     

    Pour parodier Macron, nous disons : censeurs de tous les pays on vous emmerde !

     

    AGRIPPA


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